KIOSQUE n° 200 Février 2016 Erratum Ici page 46 corrigée

Publié par erreur par le service communication de la mairie, n° 200 du KIOSQUE (Fév. 2016)

Ci-dessous la page dûment corrigée (mon service communication)

 

 

L'entêtement du maire, une catastrophe annoncée.

Remarques à la suite de la réunion du jeudi 25 février 2016, en mairie

Mi novembre 2015, après l'effondrement rue Droite, derrière la future (?) médiathèque, l'immeuble au n° 1 de la rue Mougins Roquefort s'effondre partiellement et menace ruine.

Pays de Grasse Développement, dont le maire de Grasse est le Président, affirme :

Informez-vous

L'état de droit sera-t-il respecté ?

Les « jeunes » découvrent la LOGORRHEE du maire

Conseil municipal du Mardi 23 fév. 2016

Arrivé à 14h15 pour la séance prévue à 14 h 30, quel ne fut pas mon étonnement de voir le maire présent à l'entrée du Palais des congrès, serrant les mains des jeunes élus du « conseil municipal des jeunes ». Pour une fois le maire était à l'heure, ce qui ne l'a pas empêché de débuter la séance avec plus de15 minutes de retard.

Grassois, cette réunion nous concerne tous. Venez prendre connaissance de la position du maire.

Le jeudi 25 février 2016, à 18 h, en salle « du conseil » de l' hôtel de ville, place du Petit Puy, sur la demande de l'association « Grasse sinistrés », le maire recevra les victimes des éboulements survenus récemment en vieille ville et devrait répondre à leurs questions, légitimes s'il en est.

429.467 €uros non récupérés – Pfitttt ! Partis en fumée ...

Le T.A. n'a pas autorisé H.P. GOBY et Antoine DE VILLERS a essayer de les récupérer en faveur de la ville de Grasse. Voir mon article du 16.10.2015 « Les pots de terre écrasés par le pot de fer »

En Juillet 2005 le taux de la taxe transport appliqué aux salaires bruts des employés de la ville de Grasse (et des sociétés de plus de neuf employés) était de 1,05 % .

Parmi les voeux pour 2016

Les effondrements en vieille ville peuvent être un déclic salvateur. Et si le maire consultait les Grassois pour changer radicalement de politique de réhabilitation de la vieille ville ? Au lieu d'étouffer le centre historique, en profiter pour l' éclaircir.

Malgré une situation dramatique, il n'est pas inutile de revenir sur son évolution , contraire à toutes les déclarations.

La loi ? Moi pas connaître ! Elle oblige? Moi pas soucier ! Moi dépassé !

Exemple 1: Désinvolture totale: fonctionnement sans arrêté municipal, puis avec arrêté qu'on ne pourra pas appliquer:

La loi (et la loi, ce n'est pas rien !) fait obligation aux communes comme Grasse de créer des emplacements destinés à l'affichage d'opinion ainsi qu'à la publicité relative aux associations à but non lucratif (articel L581-3 du code de l'environnement). Pour créer ces panneaux, le maire doit prendre un arrêté.

Kiosque offre une petite place aux oppositions. Autant la consacrer exclusivement à Grasse.

Et en ce moment pourquoi ne pas rouvrir le débat sur la réhabilitation de la vieille ville ?

Kiosque n° 198 de décembre 2015, page réservée aux groupes du conseil municipal.

Le groupe formé par Philippe-Emmanuel de Fontmichel, Myriam Lazreug et Stéphane Cassarini, consécutif à la scission du groupe « Grasse à Tous, Ensemble et Autrement », n'a pas encore bénéficié d'un espace pour s'exprimer dans Kiosque.

Errare humanum est, perseverare diabolicum. L'effondrement des immeubles en vieille ville, l'occasion de remettre à plat la politique municipale.

Premier point: même si on reconstruisait, la répétition des effondrements d'immeubles n'inciterait pas les futurs destinataires à devenir occupants d'immeubles réhabiltés à la stabilité incertaine.

Pages

S'abonner à Grasse à Goby RSS